L'auteur Luc Dagenais explique ce qu'est une uchronie bizarro dans l'entrevue donnée à Québec Radio le 16 février 2013. Il parle aussi d'horreur, de Paul de Maisonneuve, de la plantureuse Jeanne Mance et de sexe!
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L'auteur bizarro Luc Dagenais en entrevue à... par Visceres
Ouf... Luc est patient! Franchement ce sont de très mauvais interviewers. Ils sont toujours en train d'interrompre Luc... C'est super le fun de voir qu'ils ont passé Luc en entrevue et qu'ils lui ait accordé du temps, mais ils sont vraiment 2 de pique... Ouin, pas fort.
RépondreSupprimerLOL, merci Vincent.
RépondreSupprimerÀ leur défense (quoique je ne suis pas certain que c'est vraiment mieux) l'entrevue à été réalisée 2 heures plus tard que prévu. Leur consommation de broue dans l'intervalle était peut-être mal planifiée... ;o)
De rien!
RépondreSupprimerAh, s'ils étaient pas mal avancés, ça explique leur performance (du moins en partie). En tout cas, Luc, tu t'en es tiré admirablement vu les circonstances. :)
Le truc, c'est d'être plus saoul qu'eux.
RépondreSupprimerJ'étais curieux de savoir ce que c'était, l'uchronie bizarro. Malheureusement, les animateurs pas mal plus intéressés à couper à tout bout de champs la parole de leur invité et ce, à grands coups d'inepties et de commentaires platement idiots m'ont empêché de le découvrir.
RépondreSupprimerChapeau à Luc Dagenais dont la patience est inversement proportionnelle au professionnalisme de ces animateurs de bas étages qui en plus de manquer de respect à leur invité, manquent de respect au métier d'animateur.
Ça vole vraiment bas dans le monde de la radio au Québec.
Luc, ça te dirais de nous expliquer ce qu'est une uchronie bizarro? Je te suggère de le faire ici : http://branch.com/b/qu-est-ce-qu-une-uchronie-bizarro
RépondreSupprimerVous avez raisons, messieurs, pour l'entrevue radio. Cependant, comme il semblerait que le sujet en intéresse plus d'un, il serait pertinent de vous inscrire et de suivre le lien sur Branch que Frédéric à posté. Vous pourrez même interragir avec lui par la suite!
RépondreSupprimer@Ed: J'vais retenir ton conseil pour la prochaine fois. :oD
RépondreSupprimer@Le Merc: Une chose qui m'énerve des uchronies est la propension des auteurs à ne baser leur uchronie que sur de « grands » événements de l’Histoire. Ex. Les nazis gagnent la 2e guerre, Hannibal conquiert Rome, etc. Pourquoi ne pas baser une uchronie sur un événement insignifiant ? Ou mieux, sur un élément imaginaire, comme la présence de monstres sur le territoire Montréalais ?
@Luc : J'ai souvent l'impression que la plupart des gens ne basent pas leur uchronie sur des événements insignifiants parce que s'ils le faisaient, ils auraient du mal à estimer eux-mêmes les conséquences.
RépondreSupprimerTandis qu'en fouillant un peu, il est très facile de trouver quelques articles d'universitaires sur ce qu'il serait advenu de l'histoire du monde si Hannibal avait pris Rome, si les Nazis avaient gagné, etc, et de s'en inspirer.
Bref, t'es doublement digne de félicitations. J'suis pas mal sûre que personne a écrit d'articles scientifiques sur les conséquences de la présence de monstres sur le territoire de Montréal au moment de sa fondation... ;)
@Gen : Merci. Mon uchronie se tient dans sa logique interne — je crois —, mais elle est pas mal farfelue. Les seules recherches historiques que j’ai effectuées portaient sur le 1er voyage de Maisonneuve, question de changer le plus d’éléments possible. Ex. date d’arrivée, nombre de colons, nombre de bateaux, etc.
RépondreSupprimerEt je crois que tu as sûrement raison en ce qui concerne les uchronies plus traditionnelles : manque de documentation, manque d’imagination, peur de se tromper dans leur estimation de la part des écrivains.
Peut-être aussi qu’en général les grands événements intéressent plus les auteurs/lecteurs ?